samedi 31 juillet 2010

Du temps...

Citation du jour
"Tout étrange que cela peut paraître les choses bonnes à avoir et les jours bons à passer sont tôt racontés et n'offrent pas grand intérêt." (J. R. R. Tolkien)

photo José Spéret

dimanche 25 juillet 2010

Perturbation dans la force (suite)

Citation du jour
"Il faut être léger comme l'oiseau et non comme la plume." (Paul Valéry)

Lucasfilm Magazine "Episode 35"


RENDEZ-NOUS LE STAR WARS MAGAZINE ! 

samedi 24 juillet 2010

Produits dérivés

Citation du jour
"La mort c'est le meilleur moment de la vie. C'est pourquoi il est préférable de la garder pour la fin." (Gustave Parking)


Star Wars Comics Collector n°1



Première publication aux USA en juillet 1977

    * Couverture Howard Chaykin & Tom Palmer
    * Scénario Roy Thomas
    * Dessin ; encrage Howard Chaykin
    * Couleur Marie Severin
    * Traduction Alex « Nikolavitch » Racunica
    * Adaptation ; supervision éditoriale Comics Thierry Mornet François    Hercouët (Guy Delcourt Productions)
    * Lettrage ; mise en page : Moscow Eye

Episodes : « La Guerre des Etoiles » – Au-dessus de la planète désertique Tatooine, un croiseur impérial poursuit un appareil rebelle. Les troupes impériales vont se lancer à l’assaut.
« Six contre une galaxie ! » – Luke Skywalker découvre un message caché dans la mémoires de R2-D2. Ce petit droïde s’échappe et part à la recherche du mystérieux Obi-Wan Kenobi.
Holo-News : Tatooine planète des sables Luke Skywalker : le destin d’un jeune fermier de Tatooine
Arrêt sur image : Luke et Biggs : Une amitié de toujours…

jeudi 22 juillet 2010

Produits dérivés

Citation du jour
"Il n'y a que les pauvres qu'on puisse dépouiller." (Jean Cassou)

Adidas Originals - Star Wars Collection Imperial March Remix

mardi 20 juillet 2010

Egyptæ

Citation du jour
"Chez nous c'est moi le patron, ma femme est seulement celle qui prend les décisions." (Woody Allen)

Egyptæ

Sous les sables millénaires,
harassé, le scarabée se désole
dans son nid précaire.

Enfoui dans les sables millénaires,
agacé, il chancelle sur les cadavres
de milliers de ses congénères.

Sous les sables millénaires,
il se dirige vers son destin,
noir comme l’ébène.

Sous les sables millénaires,
il sait que bientôt sera la fin,
il ornera la somptueuse coiffure de la reine.

Sous les sables millénaires,
le scarabée l’a vue sourire,
bien avant que sa momie se mette à flétrir.

Sous les sables millénaires,
le scarabée immortel
se dirige vers son destin.

José Spéret (Poésie et aphorismes)

dimanche 18 juillet 2010

Perturbation dans la force (suite)

Citation du jour
"Le Siècle du pouvoir de l'homme devint celui de son désespoir." (Francis Ponge)

Lucasfilm Magazine "Episode 34"


RENDEZ-NOUS LE STAR WARS MAGAZINE !

samedi 17 juillet 2010

@rrêt sur images n°134

Citation du jour
"Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie." (Victor Hugo)

Gazette d'@rrêt sur images, n°134

Cette enquête de la Justice sur l'affaire Woerth-Bettencourt, menée tambour battant sous les projecteurs, n'est-elle pas un gigantesque trompe-l'oeil ? C'est l'avis catégorique d'Eva Joly, ancienne juge d'instruction, qui est venue nous l'expliquer sur le plateau. Selon elle, contrairement aux apparences, l'enquête du procureur Courroye a toutes les chances de foncer droit dans le mur, et au final d'épargner les puissants qu'elle feint de viser. Elle nous en explique les raisons. Le débat est parfois technique, mais cela vaut la peine de vous accrocher. Comme celle de la semaine dernière, nous considérons que cette émission est d'intérêt public. Nous avons donc voulu qu'elle soit accessible à tout le monde, abonnés ou non. L'émission est ici.

Pas un jour sans révélation. Un retrait en espèces ici, et là une étrange vente de gré à gré à des amis d'amis. Et encore de nouveaux témoignages, et de nouvelles auditions. Comment faire pour éviter d'être noyé dans les sous-scandales, et ne pas perdre de vue l'essentiel de l'affaire Woerth-Bettencourt ? Se recentrer sur la maladie de nos institutions. Une Justice sous contrôle, d'abord : c'est le sujet de notre émission. Mais aussi un système fiscal délirant, qui aboutit à la restitution à Liliane Bettencourt de 30 millions d'euros, au titre du bouclier fiscal. Comment ce prodige est-il possible ? Nous vous l'expliquons en détail dans cette enquête, menée "sous les jupes de Clymène et Thétys". Elle est certes plus touffue que les séries d'été de vos hebdos, mais là aussi, vos efforts seront récompensés.

Daniel Schneidermann

jeudi 15 juillet 2010

Troche, encore un trait de génie !

Citation du jour
"Les souvenirs sont du vent, ils inventent les nuages." (Jules Supervielle)

J'adore le travail de cet illustrateur !

 TROCHE
http://portroche.blogspot.com/

mercredi 14 juillet 2010

Perturbation dans la force (suite)

Citation du jour
"La poésie, dans une œuvre, c'est ce qui fait apparaître l'invisible."(Nathalie Sarraude)


Lucasfilm Magazine "Episode 33"


RENDEZ-NOUS LE STAR WARS MAGAZINE !

lundi 12 juillet 2010

Toujours en mouvement est la force...

Citation du jour
"Il faut être un homme vivant est un artiste posthume." (Jean Cocteau)


Jolie photo de famille...


dimanche 11 juillet 2010

Une ration de prose "easy"

Citation du jour
"Le temps n'épargne pas ce qu'on a fait sans lui." (François Fayolle)

Une ration de prose "easy"


Le départ permanent,
un départ imminent.

De départements en appartements,
d'errements dans les serres, aux serments dans les airs.

Point d'escale dans le bizarre.

L'exode sans méthode,
une suite d'épilogues et de prologues,
l'exode distillé en plusieurs épisodes.

Point d'escale dans les bazars.

L'errance dans le silence,
un combat constant contre l'absence.

Point d'escale dans les bars.

Porter les valises, pour certains, ça dépayse.
Pour d'autres, ce sont des bêtises.

Point d'escale dans les arts.

Partir pour oublier les souffrances,
endurées dans l'indifférence.

Point d'escale sans départ.

Ailleurs est toujours porteur d'espoir,
le soir est promesse de meilleur.

José Spéret (Chants des pleurs, à réapparaître)

samedi 10 juillet 2010

vendredi 9 juillet 2010

@rrêt sur images n°133

Citation du jour
"Monde à la triste figure, tout barbote dans l'ordure. L'excuse est que rien ne dure. (Jules Romains)

Gazette d'@rrêt sur images, n°133
Ce fut une matinée de folie. A peine l'ancienne comptable des Bettencourt avait-elle été interrogée, nuitamment, sans avocat, par la police, que le pouvoir faisait fuiter à l'aube les éléments qui l'arrangeaient. Le site du Figaro reprenait cette propagande. Aussitôt, l'Elysée embouchait les trompettes du triomphe : la comptable, parait-il, retirait ses accusations. Il fallait attendre quelques heures, pour que les interrogatoires complets (et très différents des extraits) soient enfin diffusés par la presse en ligne.
Ce sont ces heures sans précédent, que nous racontent en détail cette semaine deux acteurs de premier plan, Fabrice Lhomme (Mediapart) et Gérard Davet (Le Monde). Ce récit, qui décrit parfaitement les risques de l'information en temps réel, est d'intérêt public. Même si vous n'êtes pas abonnés, nous avons voulu que vous puissiez voir cette émission. Elle est donc en accès libre, ici. Ses meilleurs moments sont là.

Une chose est sûre depuis cette semaine : les nouveaux médias en ligne, jusqu'alors cantonnés à la marge, sont désormais au centre du paysage politique. Plus personne ne pourra compter sans eux. A vous de jouer, maintenant. Dans les raisons qui vous ont retenu, jusqu'à présent, de vous abonner, peut-être y avait-il une crainte : vous n'étiez pas certains de notre longévité. Vous voilà rassurés, j'espère : "une nouvelle presse est née, avec de vrais journalistes dedans, avec de vrais lecteurs debout", résume fièrement, dans nos forums, une de nos abonnées de la première heure. Je vous le révélais la semaine dernière : après notre décision d'embaucher Didier Porte, licencié de France Inter, les abonnements ont afflué. Ils ont aussi déferlé à Mediapart, tous ces derniers jours, et nous nous en réjouissons.

Daniel Schneidermann

jeudi 8 juillet 2010

Message de "Là-bas si j'y suis"

Citation du jour
"On peut faire de l'humour avec tout le monde, sauf avec les gens de l'UMP !"  (Anonyme)

Stephane Guillon et Didier Porte virés de France Inter,
Là-bas si j’y suis s’interroge.


Aurons-nous des auditeurs à la rentrée ?


Chers AMG,

Désolés, mais jamais nous ne pourrons diffuser les centaines de messages que nous avons reçu au sujet de Porte et Guillon, sur le répondeur, par mail, sur le site, par courrier... La plupart disent la même incompréhension, la même colère, le même attachement à France inter (et bien sûr à Là-bas !). Certains sont drôles, certains exagèrent, certains développent des analyses argumentées. Beaucoup voient l’Elysée derrière ces évictions, beaucoup s’en prennent à la direction, beaucoup s’en prennent à la terre entière. Au sujet des « petits tyrans », Sarah cite Machiavel : « La meilleure forteresse des tyrans c’est l’inertie des peuples ». Le genre de phrase qui nous donne envie de continuer « Là-bas » en espérant que vous serez encore là à la rentrée. N’oubliez pas que les actionnaires c’est vous ! Un auditeur suggère un sujet sur le financement de Radio France dont l’histoire remonte au programme du Conseil National de Résistance.
Nous reviendrons sur tout cela à partir du 30 août.
Pour tenir jusque-là, et puisque « l ‘humour fait partie de l’ADN de France inter » voici un message adressé par une auditrice qui signe « Marie B. ». Elle n’a pas laissé d’adresse, et nous espérons qu’elle ne nous en voudra pas de vous adresser cette histoire, mais comment résister à l’envie de partager cette petite douceur ?
 
Daniel Mermet


Y’aura-il encore des auditeurs à la rentrée ?

Par Marie B.


C’est la question qui hante France inter. Suite à l’éviction de Didier Porte et de Stéphane Guillon, on ne compte plus les milliers de messages d’auditeurs qui continuent d’arriver pour dire leur colère et jurer qu’ils n’écouteront plus jamais cette radio.

Mais que fait la direction devant cette hémorragie sans précédent ?
Seul, barricadé dans son bureau, le directeur se frotte les mains. Oui, il est ravi, il se sourit à lui-même, tout fier de la mission accomplie. Une mission très claire : faire fuir le plus d’auditeurs possible.


La mise à pied brutale des deux humoristes n’est pas une gaffe stupide, c’est l’exécution d’une feuille de route bien précise. Aux yeux du pouvoir actuel, France inter est un repère de bobos socialistes et d’islamo-gauchiste, c’est surtout et avant tout un bastion de l’anti sarkozysme.

Or, à l’approche des présidentielles, pas question de négliger le moindre détail. Il faut restructurer cette antenne « de façon plus objective » selon l’Elysée.
Conseillé par sa compagne Carla Bruni, le Président lui-même a esquissé une nouvelle grille : Jean-Marie Bigard pour la matinale, Serge Dassault pour les banlieues, Alain Finkielkraut et Michel Sardou pour les grandes idées, Etienne Mougeotte pour le rire, Liliane Bettencourt pour parler d’amour...

Un bien beau projet mais de longue haleine. Le temps pressait, et - on l’a vu - les auditeurs n’apprécient guère que l’on change leurs habitudes.

Donc une autre idée s’est imposée. Pour lutter contre la propagande socialo-communiste, le moyen le plus efficace c’est de faire baisser l’audience. Mais encore fallait-il trouver celui qui l’appliquerait. Prendre une entreprise en bonne santé et la conduire dans le mur n’est pas à la portée du premier venu. Sauf à trouver quelqu’un de suffisamment incompétent et qui serait prêt à tout pour se voir dans le miroir du pouvoir. C’est ainsi que s’imposa le nom de Philippe Val. C’est, dit-on, Carla Bruni en personne qui suggéra le patron de Charlie hebdo, célèbre pour n’avoir pas hésité en juin 2008 à faire accuser d’antisémitisme le vieux dessinateur Siné dont il voulait se débarrasser. Le tribunal reconnut la complète innocence de Siné et les lecteurs laissèrent tomber ce journal comme un fruit pourri.

Coup double pour Val qui, en un temps record, réussit à perdre à la fois un procès et un journal. Cette prouesse allait lui ouvrir les portes de France Inter. C’est Carla qui lui annonça la bonne nouvelle.

Pour masquer sa parfaite ignorance de la radio, il eut l’idée de faire appel à son vieil ami Jean-Luc Hees, ancien grand professionnel de la profession retiré dans le bocage normand à cultiver ses tomates, ses choux et son cheval. Contre un bon salaire et une belle auto (avec chauffeur), Hees accepta le job de Président que lui offrit Nicolas Sarkozy, sur lequel il avait écrit un livre passé inaperçu. Etait-il à jeun en signant son engagement ? On l’ignore. Le lendemain, une fois dissipées les brumes matinales, il s’aperçut qu’il n’y avait pas de marche arrière ni même de frein dans son contrat. Et il comprit que jusqu’à la fin du film, il porterait le chapeau avec écrit en gros « Sarkozy » dessus. Oui, jusque dans son cercueil, sur son chapeau de cow-boy il y aurait, indélébiles, les sept lettres « Sarkozy ».

L’ordre d’éliminer les auditeurs ne fut jamais formulé par le pouvoir. On savait que ces deux-là ne manqueraient pas la première occasion pour combler les attentes de l’actionnaire-Président. On reconnaît les grands professionnels à ce qu’il n’est plus nécessaire de leur donner des ordres. Une petite tape sur le derrière de temps en temps leur suffit, ou une décoration.

En juin 2010, la façon de congédier les deux humoristes les plus populaires du pays et qui assuraient une excellente audience a surpassé toutes les attentes : la brutalité, la mauvaise foi, l’arrogance. Tous les ingrédients pour enrager l’auditeur et le faire fuir vers d’autres radios, Europe 1 par exemple, la radio de l’ami Lagardère.

« Barrez-vous, tas de cons ! Barrez-vous ! » répétait tout seul le directeur enfermé dans son bureau en voyant sur l’écran le nombre de messages et de signatures au bas des pétitions. Certes, pensait-il, il reste des émissions auxquelles les auditeurs sont attachés. Il faudra les déplacer à des horaires confidentiels, les gommer de la une du site de la chaîne, leur refuser toute promotion... Et puis, après tout, pourquoi France inter échapperait au sort de tous les Services Publics ? Nous sommes dans une époque de rigueur et de réduction des coûts. Il y a là des économies à faire et des bouches à faire taire.

Mais voilà qu’il est interrompu par la rumeur d’une manif sous ses fenêtres. Entre les lamelles du store il aperçoit sur le parking de la maison de la radio, la foule des auditeurs venus protester contre la mise à pied des deux chroniqueurs à l’appel de l’intersyndicale. Il les entend faire rire la foule en promettant du goudron et des plumes pour la direction, c’est-à-dire lui-même ! Et là, seul dans son bureau, il glousse de plaisir. Se faire haïr par une foule d’imbéciles est une rare jouissance pour un esthète.

Il sent son portable vibrer dans sa poche. C’est un message de félicitation, signé Nicolas. Il pense que c’est son ami Nicolas Demorand, l’animateur vedette de la chaîne, qui le félicite d’avoir viré Didier Porte. On se souvient en effet comment Demorand, sur Canal+, le 5 juin, avait condamné Didier Porte et approuvé son renvoi.

Mais non, le message est signé « Nicolas S. »

S. comme ... heu...

Le directeur ressent comme une bouffée de chaleur, il lui semble même éprouver une légère érection.

Malgré le tremblement de sa main, il parvient enfin à lire le message :

« Cass’toi pauv’con ! t’ es viré ! »

Marie B.
La-bas.org
3 Juillet 2010

mercredi 7 juillet 2010

Un lego peut en cacher un autre...

Citation du jour
"Qu'est-ce qu'un adulte ? Un enfant gonflé d'âge." (Simone de Beauvoir)

Euh... un héros peut en cacher un autre...

Sympathique petit film


mardi 6 juillet 2010

Blog à visiter

Citation du jour
"Le bonheur n'est jamais triste ou gai, il est le bonheur." (Armand Salacrou)

 Blog à voir

Le blog de Gérald Martinand
http://martinandsculpteur.blogspot.com/

dimanche 4 juillet 2010

Perturbation dans la force (suite)

Citation du jour
"L'extrême limite de la sagesse, voilà ce que le public baptise folie." (Jean Cocteau)


Lucasfilm Magazine "Episode 31"
RENDEZ-NOUS LE STAR WARS MAGAZINE !

samedi 3 juillet 2010

@rrêt sur images, n° 132

Citation du jour
"J'en passe, et des meilleurs." (Victor Hugo)

Gazette d'@rrêt sur images, n° 132
Vous le savez déjà, puisque je vous l'ai annoncé: Didier Porte, humoriste licencié de France Inter, vient de nous rejoindre. Vous le retrouverez chaque semaine, sur le site, et il a commencé dès cette semaine par une charge prometteuse contre Jean-Luc Hees et Philippe Val. Exceptionnellement, nous avons voulu que cette chronique soit en libre accès à tous, abonnés et non abonnés. Vous pouvez donc la regarder ici .

Franchement, je ne m'attendais pas à un tel élan de votre part. Depuis que Didier Porte est parmi nous, plus de deux mille nouveaux abonnés nous ont déjà rejoints. A l'heure où je vous écris cette gazette, sa chronique, à peine en ligne depuis quarante-huit heures, a dé jà été vue trente mille fois. La preuve est faite : quand les médias traditionnels se cadenassent, les sites de presse comme le nôtre, indépendants de tout pouvoir, offrent désormais une alternative.

Mais ce n'est qu'un début. Dès la rentrée, et peut-être même avant, il faudra s'organiser pour  renforcer cette alternative, et accueillir toutes les voix censurées par le système. C'est maintenant, que nous avons besoin de vous.

Daniel Schneidermann

vendredi 2 juillet 2010

De clochers en clochetons...

Citation du jour
"La vie est l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort." (François-Xavier Bichat)



jeudi 1 juillet 2010